mercredi 3 novembre 2010

LE Canard accuse, médiapart accuse.... Ça y va fort. Tout ça pour rien évidemment.

vendredi 29 octobre 2010

Dans la course aux performances des super-calculateurs, la Chine a vraisemblablement détrôné, jeudi 28 octobre, les Etats-Unis. Conçu par deux cents ingénieurs, le Tianhe-1A ("voix lactée") est un superordinateur hébergé au National Center for Supercomputing, dans la ville de Tianjin, dans le nord-est de la Chine.
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Le système a une capacité de 2,507 pétaflops par seconde, soit l'équivalent de 2,5 millions de milliards d'opérations par seconde. Jusqu'à présent, c'était le système Jaguar, du département de l'énergie américain, qui disposait de la plus grande puissance de calcul, avec 1,75 pétaflops par seconde.

Le supercalculateur Tianhe-1A peut être utilisé dans de nombreux domaines, de la météorologie, à la recherche médicale. Il dispose de microprocesseurs Intel, de processeurs graphiques Nvidia, et de nouveaux processeurs conçus par les ingénieurs chinois, baptisés "FeiTeng-1000".

Avec ce nouveau superodinateur, la Chine se place pour la première fois devant les Etats-Unis. Cette course à la puissance est d'ailleurs devenue une priorité nationale, avec le lancement d'un vaste plan pour les technologies innovantes lancé en 2006 par les autorités chinoises.



Dans le classement mondial des cinq cents ordinateurs les plus puissants paru au mois de juin, la Chine avait déjà beaucoup progressé au niveau mondial, plaçant une de ses machines en deuxième position. Mis au point dans le centre national de Shenzhen, dans le sud de la Chine, Nebulae est utilisé pour des calculs scientifiques et le séquençage de gènes.

En juin, la Chine compte vingt-quatre machines dans le top 500, dont deux aux dix premières places. Et, si les Etats-Unis ne sont plus en tête, ils étaient largement présents, avec deux cent quatre-vingt-deux systèmes. Ces machines utilisent majoritairement des systèmes d'exploitation Linux.

Le prochain classement doit être dévoilé au mois de novembre.
Je crois qu'au fond on sopuffre car toute la planète est présente à nos côtés, qu'on le veuille ou non. Savoir que partout dans le monde le destin a frappé des hommes et des femmes alors qu'il nous a épargné, c'est dur, à force, la réaction c'est de déprimer ou de rejeter ça.

jeudi 28 octobre 2010

 La solidarité, c'est bien. Contre des lois stupides...Quand je pense qu'ils ont expulsés le squat de Jeudi noir... C'est nul. Pendant ce temps là, on est de plus en plus fliqué... Et on accuse les gens de tout et n'importe quoi pour faire parler...

lundi 6 septembre 2010

Houellebecq répond aux accusations de plagiat


Houellebecq répond aux accusations de plagiat
Cargado por Nouvelobs. - Videos web independientes.


Accusations ridicules. Il a écrit un roman bien particulier, une oeuvre à part. C'est comme s'il ne remerciait pas les fabricants de fourchettes aloors qu'il a parlé de fourchettes dans son roman.

D'un autre côté, ça lui fait de la pub. Mais comment peut-on accuser de plagiat un auteur si particulier ????

mardi 31 août 2010

Est-ce que c'est une bonne chose de lire et relire ces poèmes et d'y penser ?

Je ne sais pourquoi cela me ramène à cette maison du Nord, triste et bouleversante, où j'ai parfois habité. Mais est-ce le hasard si cela me rappelle ces poèmes ? Ou une association d'idée, puisque je sais que le poète est belge ?

vendredi 30 juillet 2010

La glycine est fanée et morte est l'aubépine

La glycine est fanée et morte est l'aubépine ;
Mais voici la saison de la bruyère en fleur
Et par ce soir si calme et doux, le vent frôleur
T'apporte les parfums de la pauvre Campine.

Aime et respire-les, en songeant à son sort
Sa terre est nue et rêche et le vent y guerroie ;
La mare y fait ses trous, le sable en fait sa proie
Et le peu qu'on lui laisse, elle le donne encor.

En automne, jadis, nous avons vécu d'elle,
De sa plaine et ses bois, de sa pluie et son ciel,
Jusqu'en décembre où les anges de la Noël
Traversaient sa légende avec leurs grands coups d'aile.

Ton coeur s'y fit plus sûr, plus simple et plus humain ;
Nous y avons aimé les gens des vieux villages,
Et les femmes qui nous parlaient de leur grand âge
Et de rouets déchus qu'avaient usés leurs mains.

Notre calme maison dans la lande brumeuse
Etait claire aux regards et facile à l'accueil,
Son toit nous était cher et sa porte et son seuil
Et son âtre noirci par la tourbe fumeuse.

Quand la nuit étalait sa totale splendeur
Sur l'innombrable et pâle et vaste somnolence,
Nous y avons reçu des leçons du silence
Dont notre âme jamais n'a oublié l'ardeur.

A nous sentir plus seuls dans la plaine profonde
Les aubes et les soirs pénétraient plus en nous ;
Nos yeux étaient plus francs, nos coeurs étaient plus doux
Et remplis jusqu'aux bords de la ferveur du monde.

Nous trouvions le bonheur en ne l'exigeant pas,
La tristesse des jours même nous était bonne
Et le peu de soleil de cette fin d'automne
Nous charmait d'autant plus qu'il semblait faible et las.

La glycine est fanée, et morte est l'aubépine ;
Mais voici la saison de la bruyère en fleur.
Ressouviens-toi, ce soir, et laisse au vent frôleur
T'apporter les parfums de la pauvre Campine.